🧠 Santé mentale des jeunes en entreprise : quels signaux d’alerte repérer ?

Introduction

Premiers jobs, alternances, stages, emplois post-études… Les jeunes qui entrent sur le marché du travail font face à une pression énorme : performance, adaptabilité, précarité, équilibre vie pro/perso. Résultat ? De plus en plus de jeunes actifs rencontrent des troubles psychiques dès leurs premiers pas en entreprise.

Pourtant, ces signaux d’alerte restent souvent invisibles ou ignorés. Dans cet article, LEONES FORMATION vous aide à identifier les signes d’un mal-être psychique chez un jeune salarié – et surtout, comment réagir.

🚨 Pourquoi c’est un sujet urgent ?

Selon une étude de l’Observatoire de la Vie Étudiante, 42 % des jeunes actifs déclarent avoir ressenti une forme de détresse psychologique au travail. Et ce chiffre grimpe encore pour les moins de 25 ans.

👉 Le passage de la formation à l’emploi est un choc mental et émotionnel. Si les jeunes ne sont pas accompagnés, ils peuvent rapidement sombrer dans :

• L’isolement social
• L’épuisement émotionnel
• L’auto-dévalorisation
• Ou pire, la dépression sévère

👀 Les signes d’alerte à repérer chez un jeune salarié

1. Chute soudaine de motivation

Un jeune très impliqué qui devient d’un coup désengagé, en retrait ou désintéressé peut être en difficulté.

2. Retard répété ou absentéisme discret

Un ou deux retards, ce n’est rien. Mais une récurrence non justifiée, une fatigue chronique, ou des absences silencieuses doivent interroger.

3. Propos négatifs ou auto-dévalorisants

« Je suis nul », « je ne suis pas à la hauteur », « je vais me faire virer » : ces phrases ne sont pas anodines.

4. Perte de lien avec le collectif

Isolement aux pauses, absence de communication, disparition des canaux Slack/Teams, refus implicite de toute interaction sociale.

5. Troubles physiques inexpliqués

Douleurs, migraines, troubles du sommeil… Ces signaux corporels sont parfois la seule façon pour un jeune de dire “ça ne va pas”.

🤝 Comment réagir quand on repère ces signes ?

1. Parler sans pression

Pas besoin d’être psychologue pour aider : il suffit de créer un espace sécurisant pour que le jeune puisse s’exprimer.

🗨️ « Comment tu te sens en ce moment au boulot ? »
🗨️ « Tu veux qu’on fasse un point ensemble, sans pression ? »

2. Écouter sans juger

Évitez les phrases comme « Ce n’est pas si grave » ou « Tu dois t’endurcir ». Elles ferment la discussion. À l’inverse, l’écoute active et neutre ouvre la confiance.

3. Orienter sans forcer

Si la détresse est réelle, proposez simplement des pistes : médecin traitant, psychologue du travail, ou référent RH. Ne forcez pas, mais ouvrez des portes.

🧠 La solution ? Former les jeunes (et leurs encadrants) avec le PSSM

La formation Premiers Secours en Santé Mentale (PSSM) permet à tous – jeunes salariés comme tuteurs – de repérer ces signes et d’adopter les bons réflexes.

Chez LEONES FORMATION, nous formons aussi des groupes intergénérationnels, pour que chacun apprenne à :

• Écouter
• Soutenir
• Et agir de façon responsable en cas de mal-être

🎓 Et pour les alternants et stagiaires ?

La formation PSSM peut être intégrée dans un parcours d’onboarding ou une semaine de sensibilisation au bien-être. C’est une preuve d’engagement RSE forte pour votre entreprise, mais aussi une arme anti-turnover.

📣 Conclusion

Les jeunes ne manquent pas de talent. Mais ils ont besoin d’un cadre humain, d’écoute et de repères. En formant vos équipes aux Premiers Secours en Santé Mentale, vous créez un environnement sain et sécurisant, propice à l’épanouissement de la nouvelle génération.

👉 Vous souhaitez prévenir la souffrance psychique des jeunes dans votre entreprise ?
Formez vos équipes avec LEONES FORMATION.
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